Gifs by Oriza - Poèmes, Messages
Gifs by Oriza, Poésie d'Amour,
Des poèmes de William Shakespeare
Sonnet 01 -
Des créatures les plus belles
Sonnet 02 - Lorsque quarante hivers auront assailli ton front
Sonnet 03 - Regarde en ton miroir, dis à la face que tu vois
Sonnet 04 - Infructifiante chose à aimer
Sonnet 05 - Ces heures, qui par gentil travail
Sonnet 06 -
Alors ne laisse pas la main décharnée
- (en
anglais
)
Sonnet 07 - Ah! de l'orient quand la royale lumière
- (en
anglais
)
Sonnet 08 - Toi musique à entendre
- (en
anglais
)
Sonnet 09 -
Serait-ce par crainte de mouiller un oeil de veuve -
(en
anglais
)
Sonnet 10 - Par honte! nie que tu portes amour
- (en
anglais
)
Sonnet 11 - Aussi vite tu déclineras
Sonnet 12 -
Quand je compte avec soin l'horloge
Sonnet 13 -
Ah si vous étiez vous à vous-même!
Sonnet 14 -
Ce n'est pas aux étoiles que je recueille mon jugement
Sonnet 15 -
Lorsque je considère que toute chose
Sonnet 16 -
Mais pourquoi vous, par plus puissant moyen,
Sonnet 17 -
Qui croira mon vers dans le temps à venir
Sonnet 18 - Irai-je te comparer au jour d'été ?
Sonnet 19 - Temps dévorant, émousse les pattes du lion
Sonnet 20 -
Tu as une figure de femme, peinte de la main même de la nature
Sonnet 21 - Ainsi, il n’en est pas de moi comme de cette muse
Sonnet 22 - Ma glace ne me persuadera pas que je suis vieux
Sonnet 23 - Semblable à un acteur imparfait
Sonnet 24 -
Mon œil s’est fait peintre
Sonnet 25 -
Que ceux qui sont en faveur
Sonnet 26 - Lord de mon amour,
Sonnet 27 -
Épuisé de fatigue, je me mets vite au lit
Sonnet 28 -
Comment puis-je revenir en heureuse santé
Sonnet 29 -
Lorsque, en disgrâce auprès de la fortune
Sonnet 30 - Quand aux assises de ma pensée doucement
Sonnet 31 -
Ton sein s’est enrichi de tous ces cœurs
Sonnet 32 -
Si tu survis à mon existence résignée
Sonnet 33 -
J’ai bien vu maintes fois l’aurore glorieuse
Sonnet 34 -
Pourquoi, ami, m’as-tu promis un si beau jour
Sonnet 35 -
N’aie plus de chagrin de ce que tu as fait
Sonnet 36 -
Laisse-moi te dire que tous deux
Sonnet 37 -
Comme un père en sa décrépitude
Sonnet 38 -
Comment ma muse pourrait-elle manquer
Sonnet 39 -
Oh! comment pourrais-je chanter tes mérites
Sonnet 40 -
Prends toutes mes amours, mon amour, va
Sonnet 41 - Que ton caprice commette tous ces péchés mignons
Sonnet 42 -
Qu’elle soit à toi, ce n’est pas là tout mon chagrin
Sonnet 43 -
C’est surtout quand mes yeux se ferment qu’ils voient le mieux
Sonnet 44
-
Si mon être grossier n’était fait que de pensée
Sonnet 45 -
Les deux autres éléments, l’air subtil et le feu purifiant,
Sonnet 46 -
Mes yeux et mon cœur se font une guerre à mort
Sonnet 47 -
Mes yeux et mon cœur ont conclu une ligue
S
onnet 48 -
J'ai pris le soin de mettre
Sonnet 49 -
Contre le temps, si jamais ce temps arrive,
Sonnet 50 -
Comme j’avance péniblement sur la route,
Sonnet 51 -
Ainsi mon affection sait excuser la fastidieuse lenteur
Sonnet 52 -
Je suis comme le riche qu’une clef bénie
Sonnet 53 -
De quelle substance êtes-vous donc fait,
Sonnet 54 -
Oh ! comme la beauté semble plus belle
Sonnet 55 -
Ni le marbre, ni les mausolées dorés
Sonnet 56 -
Doux amour, renouvelle ta force ; qu’il ne soit pas dit
Sonnet 57 -
Étant votre serf, ai-je autre chose à faire
Sonnet 58 -
Que Dieu, qui tout d’abord me fit votre serf,
Sonnet 59 -
S’il est vrai qu’il n’y a rien de nouveau
Sonnet 60 -
Comme les vagues se jettent sur les galets de la plage,
Sonnet 61 -
Est-ce ta volonté que ton image tienne
Sonnet 62 - Le péché d’amour-propre possède mes yeux
Sonnet 63 - Un jour viendra où mon bien-aimé sera
Sonnet 64 - Quand je vois la main cruelle du temps
Sonnet 65 -
Puisque le bronze, la pierre, la terre, la mer
Sonnet 66 -
Lassé de tout, j’invoque le repos de la mort
Sonnet 67 -
Ah ! pourquoi mon bien-aimé vivrait-il avec la
corruption
Sonnet 68 -
Ainsi, sa joue est la mappemonde du passé
Sonnet 69 -
Ce que les yeux du monde voient de toi,
Sonnet 70 -
Que tu sois blâmé, ce n’est pas un défaut
Sonnet 71 -
Quand je serai mort, cessez de me pleurer
Sonnet 72 -
Oh ! de peur que le monde ne vous somme
Sonnet 73 - Contemple en moi ce moment de l’année
Sonnet 74 -
Mais résigne-toi : quand le fatal arrêt, qui n’admet
Sonnet 75 -
Ainsi, vous êtes pour ma pensée ce qu’est
Sonnet 76 - Pourquoi mes vers sont-ils si peu enclins
Sonnet 77 -
Ta glace te montrera comment s’usent tes beautés
Sonnet 78 -
Je t’ai si souvent invoqué pour ma muse,
Sonnet 79 -
Tant que seul j’ai invoqué ton aide, mon vers
Sonnet 80 -
Oh ! que je me sens faible en écrivant
Sonnet 81 -
Ou je vivrai pour faire votre épitaphe,
Sonnet 82 -
Je conviens que tu n’es pas marié à ma muse
Sonnet 83 -
Je n’ai jamais vu que vous eussiez besoin
Sonnet 84 -
Quel est le plus éloquent ?
Sonnet 85 -
Ma muse, bouche close, garde discrètement
Sonnet 86 -
Est-ce cette poésie grandiose, dont
Sonnet 87 -
Adieu ! tu es un bien trop précieux
Sonnet 88 -
Quand tu seras d’humeur à me dédaigner,
Sonnet 89 -
Dis que tu m’as quitté pour un défaut
Sonnet 90 -
Donc hais-moi, si tu veux ; maintenant
Sonnet 91 -
Les uns se glorifient de leur naissance
Sonnet 92 -
Mais va, démène-toi pour te dérober à moi.
Sonnet 93 -
Ainsi je pourrai vivre en te supposant fidèle,
Sonnet 94 -
Ceux qui ont le pouvoir de faire le mal
Sonnet 95 -
Quel charme et quelle grâce tu donnes
Sonnet 96 -
Pour les uns, ton défaut est la jeunesse
Sonnet 97 -
Quel hiver a été pour moi ton absence,
Sonnet 98 -
C’est au printemps que j’étais éloigné
Sonnet 99 -
J’ai grondé ainsi la violette précoce
Sonnet 100 -
Où donc es-tu, muse, pour oublier
Sonnet 101 -
Ô muse truande ! quelle sera ta pénitence
Sonnet 102 -
Mon amour s’est fortifié, quoique plus
Sonnet 103 -
Hélas ! quelle pauvreté montre ma muse,
Sonnet 104 -
Pour moi, charmant ami, vous ne pouvez
Sonnet 105 -
Qu’on ne traite pas mon amour d’idolâtrie
Sonnet 106 -
Lorsque, dans la chronique des temps
Sonnet 107 -
Ni mes propres pressentiments,
Sonnet 108 -
Est-il dans le cerveau humain une idée,
Sonnet 109 -
Oh ! ne dis jamais que mon cœur t’a trahi,
Sonnet 110 -
Hélas ! c’est vrai, je suis allé de côté
Sonnet 111 -
Oh ! grondez à mon sujet la Fortune,
Sonnet 112 -
Votre amour et votre pitié couvrent la marque
Sonnet 113 -
Depuis que je vous ai quitté, mes yeux
Sonnet 114 -
Est-ce mon âme qui, couronnée en vous,
Sonnet 115 -
Ils en ont menti, les vers, écrits par moi
Sonnet 116 -
A la sainte union de deux fidèles âmes
Sonnet 117 -
Dites, pour m’accuser, que je n’ai payé
Sonnet 118 -
De même que, pour rendre l’appétit plus vif
Sonnet 119 -
Que de fois je me suis abreuvé de larmes
Sonnet 120 -
Les torts que vous eûtes un jour me réconcilient
Sonnet 121 -
Mieux vaut ici-bas être vil que de passer
Sonnet 122 -
Les tablettes que tu m’as données,
Sonnet 123 -
Non, tu ne te vanteras pas de me faire
Sonnet 124 -
Si mon amour n’était qu’un enfant royal,
Sonnet 125 -
À quoi me servirait-il de porter un dais
Sonnet 126 -
Ô mon aimable enfant, toi qui tiens
Sonnet 127 -
Dans le vieux temps, la brune n’était pas
Sonnet 128 -
Que de fois, ô ma vivante musique,
Sonnet 129 -
La satisfaction de la luxure,
Sonnet 130 -
Les yeux de ma maîtresse n’ont rien
Sonnet 131 -
Telle que tu es, tu es aussi tyrannique
Sonnet 132 -
J’aime tes yeux, et eux, comme
Sonnet 133 -
Maudit soit le cœur qui fait gémir mon cœur
Sonnet 134 -
Ainsi, je viens de l’avouer, mon ami
Sonnet 135 -
À d’autres la satiété ! Toi, tu gardes ton désir
Sonnet 136 -
Si ton cœur te gronde de me laisser
Sonnet 137 -
Ô toi, aveugle fou, Amour, que fais-tu
Sonnet 138 -
Quand ma bien-aimée me jure qu’elle
Sonnet 139 -
Oh ! ne me demande pas d’excuser
Sonnet 140 -
Sois prudente dans ta cruauté :
Sonnet 141 -
En vérité, je ne t’aime pas avec mes yeux
Sonnet 142 -
L’amour est mon péché, et ta vertu
Sonnet 143 -
Vois comme la femelle inquiète s’élance
Sonnet 144 -
J’ai deux amours : l’un, ma consolation
Sonnet 145 -
Ces lèvres, que la main même de l’Amour
Sonnet 146 -
Pauvre âme, centre de ma terre pécheresse
Sonnet 147 -
Mon amour est comme une fièvre
Sonnet 148 -
Hélas ! comment l’amour m’a-t-il mis en tête
Sonnet 149 -
Peux-tu dire, ô cruelle, que je ne t’aime pas
Sonnet 150 -
Oh ! de quelle puissance tiens-tu cette faculté
Sonnet 151 -
L’Amour est trop jeune pour savoir ce
Sonnet 152 -
En t’aimant tu sais que je suis parjure ;
Sonnet 153 -
Cupidon, ayant posé près de lui sa torche
Sonnet 154 -
Le petit dieu d’amour, gisant un jour endormi
L
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anglais
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